17 octobre 2010
Quand bien même
Quand l'homme s'endort sur ses aquis sociaux
Quand il dénigre sans arrêt ses mots
Chaque jour dépend de l'envie des autres
Il s'appuie surtout sur la demande, la vôtre
Les dérives, ennivre énerve
Les vivres, givre, rêve
J'entend parfois en écho les voix du monde
Celle qui cri de joie, qui font une ronde
Mais aussi celle qui font mourrir
Celle qui ne font pas rire
Les décès annuel sont trop élevés
La natalité ne fait que chuter
Pourtant sur cette planete nous sommes nombreux
A se tirer dans les pattes et essayer d'être heureux
Peu de chose tiennent sur ce fil
Il manquerait plus qu'on s'eiteignent comme des piles
Arrive l'hiver
Les jours vert
Le soleil, les abeilles
Les feuilles mortes, les vieilles
Les amours au printemps
Tarrissent avec le temps
Je n'ai que des maux
Qui s'arrêtent avec ces maux.